Chez-soi au Bélize
Le petit Allan s’est sauvé du jardin d’enfants où il est inscrit depuis le début de l’année. Petit dernier et enfant gâté, il accepte mal de se séparer de sa mère. Allan, c’est le romantique. Il sait ce qu’il faut dire et faire pour attendrir sa mère : « Donne-moi ça ! Si moi j’étais la maman et toi, tu étais le bébé, je te le donnerais. » Et Maggy succombe. Maggy adore les enfants et aurait aimé en avoir onze comme sa mère. Mais les temps sont trop difficiles pour assumer une telle charge. « Pas question d’avoir un sixième enfant, la maison est si petite qu’il n’y a même pas de place pour une poupée. »